J'ai peint des mariages. Des petits et des grands mariages. Dans ces mariages, j'ai testé des techniques et des désirs de couleurs, soit feutrés, soit par bravades de joie. Des mouvements ascendants, toujours, car le mariage est une nouvelle aventure, une promesse de vie nouvelle. "Une femme est toujours une jeune fille lorsqu'elle envisage de se marier." c'est une phrase de la deuxième partie de mon roman, l'armée du dernier espoir, auquel je travaille chaque jour. La mystérieuse Myladi découvre que Myke, cet écrivain de thrillers, dépassé par les événements, entraîné dans la frénésie de la destinée du genre humain devenu fou... Ce Myke, qui ne comprend rien à sa nouvelle vie, est pourtant sa véritable âme sœur.

La faiblesse des hommes, dans un monde qui dépasse l'imagination, est presque proverbial. Myladi devra le protéger jusqu'à ce qu'il dévoile enfin sa vraie nature.

Myke représente le juif de la génération. Même si apparemment, il est éloigné de l'expression de son judaïsme, les réminiscences de sa véritable valeur peuvent entraîner le monde de l'exil dans la conscience divine de la Gueoula, la délivrance complète et véritable. Le mariage d'un homme et d'une femme représente le commencement du véritable travail. Cette aventure commence par le mariage de Yts'hak et Rivka, le mariage de Mah, masculin et Ban, féminin.